Aujourd’hui, critique d’un monument de la SF ; Ursula K. Le Guin, La Main Gauche de la Nuit, une lecture et une planète, Gheten, que je ne suis pas prêt d’oublier…
Étiquette : Cycle de l’Ekumen
Le Cycle de l’Ekumen, une œuvre majeure et bordélique de l’autrice Ursula K. Le Guin, voici une page pour avoir de quoi se repérer !
Selon les traductions, on peut aussi retrouver le nom de Livre de Hain pour désigner le cycle.
Il n’y a pas d’ordre pour lire ou commencer ce cycle. L’autrice elle-même revendique l’errance et les incohérences comme une liberté d’écriture qu’elle s’est laissée pour évoluer, changer ses images et propos. Alors foncez…
Le Cycle de l’Ekumen de Ursula K. Le Guin :
(R = Roman, N = Nouvelle ou Recueil de Nouvelles) ; Dates de parution originale.
(Concernant les recueils, les versions françaises s’entrecoupent, parfois même avec Terremer).
- I – (N+R) – Le Collier de Semlé & Le Monde de Rocannon (1964-16966)
- II – (R) – Planète d’exil, (1966)
- III – (R) – La Cité des illusions, (1967)
- IV – (R) – La Main Gauche de la Nuit, (1969)
- V – (N) 3 Nouvelles de « Au Douze Vents du Monde » ou du « Livre d’Or de la SF« .
- Neuf vies, (1969)
- Le Roi de Nivôse, (1969)
- Plus vaste qu’un empire, (1971)
- VI – (R) – Le nom du monde est forêt, (1972)
- VII – (R) – Les Dépossédés, (1974)
- VIII – (N) – Recueil Pêcheur de la mer intérieure, +Les Voltigeurs de GY (+ Effets Churten)
- Les Voltigeurs de GY, (2000) (in Les Voltigeurs de Gy)
- Première rencontre avec les Gorgonides, (1991)
- Le Sommeil de Newton, (1991)
- L’Ascension de la face nord, (1983)
- La Première Pierre, (1992)
- Le Kerastion, (1990)
- La Construction (2001) (in Les Voltigeurs de Gy)
- L’Histoire des Shobies, (1990)
- La Danse de Ganam, (1993)
- Un pêcheur de la mer intérieure, (1994)
- IX – (N) – Recueil Quatre chemins de pardon, (1995)
- Trahisons, (1994)
- Jour de pardon, (1994)
- Un homme du peuple, (1995)
- Libération d’une femme, (1995)
- X – (R) – Le Dit d’Aka, (2000)
- XI – (N) – Recueil L’Anniversaire du monde, (2002)
- Préface
- Puberté en Karhaïde, (1995)
- La Question de Seggri, (1994)
- Un amour qu’on n’a pas choisi, (1994)
- Coutumes montagnardes, (1996)
- Solitude, (1994)
- Musique ancienne et les femmes esclaves, (1999)
- L’Anniversaire du monde, (2000)
- Paradis perdu, (2002)
D’aucuns diraient que la liberté ne s’articule pas avec la communauté, la société ; or, toute l’œuvre d’Ursula K. Le Guin contribue à défaire cette croyance répandue. Quel parallèle nous est-il possible de bâtir avec la liberté telle qu’elle est présentée chez Pierre Bottero ?