Découverte du Parkour, une pratique marchombre


Sur la voie marchombre, une pratique s’est glissée dans mon quotidien, le Parkour !…


Le Parkour, une pratique marchombre

Se réapproprier son corps, enfin. Apprendre à bouger, à utiliser dans tous les sens cet outil. Sentir ses capacités de déplacement s’accroître par ses propres moyens immédiats.

Le Parkour, c’est aussi une réappropriation de la rue, des espaces publics, du patrimoine et du privé. Il n’y a pas de lieux interdits. Les espaces sont détournés pour une utilisation autre que celle prévue, insufflés d’une vie nouvelle. L’occasion de visiter les points d’intérêt de la carte, y compris ceux qui n’y sont pas indiqués. Parfois un peu de spéléo, ou à l’inverse des points de vue sublimes sur des toits de FACs abandonnées…

Parkour et marchombres ; les toits de Grenoble
Toits de Grenoble

Le Parkour oblige à penser autrement tout ce qui nous entoure, à avoir un regard différent. Par où je passe le plus efficacement ? Puis-je grimper là ? La ville (et la nature aussi) devient un immense terrain de jeu, qui continue même après la session.

Le Parkour ne nécessite rien d’autre que mon propre corps. Ni club, ni partenaires, ni argent, ni lieu, ni contraintes horaires. Partout, par toits, et quand je veux : c’est une démarche de vie.

Enfin, le Parkour, c’est la sensation de vertige sur un toit offrant la beauté du monde, grimpé par ses propres moyens, d’être libre.


Alors voici mes premiers pas de Parkour, avec des potes… merci à eux pour les rushs. =)

J’ai pensé que vous partager mes débuts était plus intéressants que des rushs de maintenant, comme ça ceux qui n’ont jamais pratiqués peuvent voir ce qu’on peut faire au bout de seulement quelques séances dans les pattes.

Traçons nos propres routes.

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